
UN PROJET DÉMENT


En chiffres :
62 éoliennes géantes de 209 m de haut
(Nouvelles dimensions SIEMENS)
89 km2 de fonds marins saccagés
(Soit plus que la superficie des 2 îles réunies)
200 km de cables sur les fonds marins
2 ports industriels de maintenance
(avec 2000 m2 de bâtiments à Port Joinville et l’Herbaudière)
2 Milliards d’investissement (soit 3 aéroports de NDDL)
4 à 5 ans de travaux (selon les sources)
150 euros du MWh, (hors raccordement)
(Prix concédé par l’État, payé par le consommateur, contre 50 euros du MWh
pour des projets similaires en Europe)
30% de productivité des machines (en moyenne)
(70 % du temps, on devra compenser par une autre énergie à cause de l’intermittence
de leur production)
40 ans, durée de la concession* contre 20 ans, durée de vie estimée d’une éolienne
(*Contrat public autorisant une compagnie privée à utiliser un domaine/territoire public)
Un projet PHARAONIQUE
La centrale de 62 éoliennes de 209m de haut sera située à 16 km de Noirmoutier et à 12 km de l’île d’Yeu, sur des fonds marins en granite.
Pour relier la centrale éolienne aux côtes, 200km de câbles seront tirés sur les fonds marins. Les ports de l'Herbaudière et de Port Joinville devraient accueillir les bâtiments et les activités de maintenance. Ces deux ports de pêche et de plaisance deviendraient alors des ports industriels.

Encore plus GRAND ?
L'État a autorisé une zone d'implantation de 112 km2. Ce projet n'en utilisant "que" 89, il resterait de la place pour 15 à 20 éoliennes géantes supplémentaires!

OÙ EN EST LE PROJET ?
Halte à la propagande !
Le projet n’est pas entériné, loin de là. Faire croire qu’il est trop tard pour réagir est une stratégie, au demeurant, très efficace. La désinformation circule, et est reprise dans la presse. Le consortium utilise le futur au lieu du conditionnel dans sa communication et ça marche ! Nous avons rencontré beaucoup de personnes étonnées d’apprendre que le projet pouvait être remis en cause.
Voici un article qui vous résume les étapes du projet : ici.

Pour en savoir plus sur les résultats de l’enquête publique, cliquez ici.